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Les hormones produites par le sport et leur impact sur le corps

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Comment le sport active les hormones du bonheur



En trop grande quantité dans le corps, elle provoque des troubles physiologiques et psychiques importants ! D’où la nécessité de se contenter de la testostérone naturelle que notre corps libère lors de l’effort. Lorsque nous faisons du sport ou n’importe quel effort physique, nous plaçons notre corps en situation de stress. Imagine qu’un rugbyman de plus de 100kg fonce droit sur toi pour te plaquer.


Aujourd'hui encore, le cycle hormonal féminin est un sujet tabou et c'est bien dommage. Il vaut la peine d'en parler ouvertement pour que chacune puisse se sentir mieux, qu’il y ait une compréhension et une réflexion communes. Le sport de haut niveau, en particulier, aurait beaucoup à gagner à démystifier ce tabou. Dans cet article, nous nous intéressons à la meilleure manière de coordonner l’entraînement avec le cycle hormonal féminin et quels en sont les avantages. Une alimentation riche en nutriments essentiels, comme les acides gras oméga-3, les vitamines et les minéraux, est indispensable pour soutenir la production hormonale et favoriser la récupération.


Sa libération est maximale lors d’efforts intenses, ce qui explique son importance dans les sports de force et de puissance. D’un autre côté, mentionnons que l’abus d’hormone de croissance est considéré comme du dopage et peut avoir des effets néfastes sur la santé. Avec tous les effets bénéfiques que la sécrétion d’endorphines apporte, les sportifs réguliers ont parfois le sentiment d’être accro à leur pratique. Cette dépendance n’est pas physique puisque les endorphines sont très vite détruites par les enzymes de l’organisme mais, en revanche, elle est psychologique.


Exclue de toute compétition, elle conteste à son tour ce règlement auprès du TAS, qui le juge discriminatoire, mais nécessaire pour préserver l’intégrité des compétitions des femmes. Du soupçon au contrôle, le sport de haut niveau depuis un siècle traque le "vrai sexe" des athlètes. Les tests de féminité, les violences médicales et politiques qui les accompagnent et les normes implicites – raciales, sociales, sexuelles – continuent de régir l’accès des femmes à la compétition. L'étude de l'Université de Vigo note également que le risque de blessure chez une athlète est plus élevé pendant la phase lutéale du cycle menstruel, soit les cinq jours précédant les règles. Elle conclut notamment que lorsque les hormones comme l'œstrogène et la progestérone augmentent dans l'organisme, les athlètes féminines ont plus de mal à garder leur équilibre ainsi qu'à développer et à reconstruire leurs tissus musculaires. Certains retards de croissance et injections de testostérone où injecter puberté observés chez ces athlètes sont plutôt liés à des régimes restrictifs. Pour la plupart des enfants et des adolescents, le lien entre sport et retard de croissance n’a jamais été démontré scientifiquement.


Cependant, pour réduire l’anxiété, il faut réaliser des exercices à 70% de sa fréquence cardiaque maximale pendant au moins 20 minutes. L’Occident se méfie de certains pays non occidentaux et institutionnalise cette méfiance, au détriment des femmes dont la visibilité dans les médias demeure pourtant largement inférieure à celle des hommes. Le test de féminité est engagé dans un véritable cercle vicieux et revient, dans ses modalités et dans sa finalité, à son origine. En revanche, aujourd’hui, c’est à nouveau s’il y a un doute visuel que l’on impose ces contrôles… et ces doutes sont émis exclusivement envers des sportives non occidentales. L’interférence des marqueurs du sexe, de la race et de la classe dans les arguments aujourd’hui avancés en faveur du test de féminité est ainsi à interroger.


Les taux de T4 et T4 libre augmentent en continu, mais avec moins d’intensité à partir de 70 % de la fréquence cardiaque maximale, moment auquel les taux de T3 totale et T3 libre commencent à chuter. Les modifications hormonales ont perduré jusqu’à 15 minutes après l’arrêt de l’exercice d’intensité maximale. Dans l’étude de Close (9), comparativement au placebo, la compensation de la déficience en vitamine D(5 000 UI par jour) a entraîné une augmentation du temps de sprint et de la performance du saut en hauteur. Les auteurs concluent qu’une concentration en vitamine D inadéquate est préjudiciable à la performance musculo-squelettique chez les athlètes, ce qui est concordant avec la découverte des récepteurs VDR présents dans les cellules musculaires. Il existe peu d’études sur la fréquence du déficit en vitamine D en milieu sportif français. Chez les gymnastes de haut niveau (6), trois dosages de vitamine D répartis sur l’année montrent une prévalence de l’insuffisance en vitamine D chez 45 % des athlètes, particulièrement en hiver et en automne, 25 % avaient une insuffisance aux trois dosages. Chez des athlètes s’entraînant dans des pays ensoleillés (2), on note un taux insuffisant chez 63 % des sportifs.


La croissance correspond plutôt à la conjugaison de facteurs génétiques dont la taille des parents, de l’alimentation et de certaines hormones notamment l’hormone de croissance qui est produite lors du sommeil. Les hormones thyroïdiennes, elles, sont impliquées dans l’adaptation à l’effort. Leur taux varie selon l’intensité de l’activité, influençant notre métabolisme et notre production d’énergie. Il est utile de préciser que l’abus de ces hormones, notamment sous forme de suppléments, peut avoir des effets néfastes sur la santé. La meilleure façon de stimuler leur production reste une pratique sportive régulière et équilibrée. N’oublions pas que chaque individu est unique et que les réponses hormonales peuvent varier.


Bien que le sport soit bénéfique pour l’équilibre hormonal, il est essentiel de respecter certaines règles pour éviter les effets indésirables. Un entraînement excessif ou mal adapté peut conduire à un surmenage, entraînant un déséquilibre hormonal, notamment une augmentation excessive du cortisol ou une diminution des hormones sexuelles. La qualité du sommeil est directement liée à la production de mélatonine, une hormone essentielle qui régule les cycles veille-sommeil.


En tant que coach sportif depuis plus de dix ans, j’ai pu observer à quel point la compréhension de ces mécanismes hormonaux peut aider à optimiser l’entraînement. Par exemple, en variant l’intensité et la durée des séances, on peut stimuler différemment la production de ces hormones et par suite obtenir des résultats plus ciblés. Elle fait d’ailleurs partie de la célèbre famille des hormones du bonheur, au même titre que la dopamine, la sérotonine et l’ocytocine. Les endorphines sont sécrétées de manière importante lorsque le corps est soumis à une situation de stress physique ou psychologique. La quantité d'endorphines augmente pendant l'exercice et atteint 5 fois les valeurs de repos, 30 à 45 minutes après l'arrêt de l'effort. Le taux d'endorphine est directement lié à l'intensité et à la durée de l'exercice, mais aussi à l'activité physique.

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